Le métro du Grand Paris

 

 

 

 

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GRAND PARIS EXPRESS :

le métro du Grand Paris

 

Documents du débat public par la Commission Particulière du Débat Public

Réunions de concertation octobre/novembre 2013 (article du ministère de l'égalité des territoires et du logement)

La première procédure d'enquête publique est lancée 2 août (article du Monde Economie)

Doute sur le financement du Grand Paris 27 juillet 2012 (article du Monde Politique)

Un premier tronçon à 5,5 milliards d'euros 27 juillet 2012 (article du Monde Économie)

C'est le 26 mai 2011 qu'a été arrêtée la carte des futurs métros à construire dans notre agglomération.
Il s'agit de la finalisation d'un compromis entre l'Etat (démarche du "Grand Paris Express") et la Région (démarche "Arc Express").
Les deux projets avaient fait l'objet d'un débat public conjoint de très bon niveau, de septembre 2010 à janvier 2011. Le compromis a été décidé alors que ce débat public n'était même pas achevé, par un accord, le 26 janvier, entre le ministre du Grand Paris, Maurice Leroy, et le président de la Région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon.
Ce n'est vraiment pas démocratique, d'autant plus que le président de la Région a globalement cédé à Nicolas Sarkozy.
C'est en effet la Société du Grand Paris (SGP), contrôlée par l'Etat, qui pilotera le projet.
Pour elle, dans la carte ci-après, le tracé vert desservant le secteur de Saclay (et le condamnant à l'urbanisation) est prioritaire, et si la Région continue de s'y opposer, c'est parfaitement symbolique.
En revanche, le tracé orange "complémentaire" (aussi appelé " Arc Express proche "), qui intéresse fortement le proche Est parisien (*), n'est pas retenu par la SGP, même s'il est toujours porté par la Région : en clair, il a peu de chance de voir le jour ! Les écologistes regrettent que " ces accords de façade ne reflètent pas la réalité ". Ils déplorent la technologie sur pneus utilisée par la ligne 14, dont la prolongation joue un rôle important dans le projet : cette technologie gaspille beaucoup d'énergie. Et surtout, pour eux, l'urgence est d'améliorer les transports existants.
Ce ne sont pas les Joinvillais qui prennent le RER A qui diront le contraire !

Michel Laval avril 2012

(*) Le franchissement de la Marne par l'Arc Express était prévu en souterrain, en dépit de ce qu'on a pu lire ici ou là… Il y a déjà assez de mauvais choix à combattre sans qu'on ait besoin d'inventer de faux périls…

 

 

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